samedi 29 janvier 2011

« 10 Things You Should Know About Round The World Tickets »

Si vous songez à acheter un billet tour du monde mais que vous hésitez encore, cet article (en anglais) pourrait vous aider à prendre une décision éclairée, car il présente de façon équilibrée les pour et les contre d'un tel billet.

mardi 25 janvier 2011

Le droit de ne pas aimer un pays

Il arrive parfois que le voyage que l'on avait planifié ne nous apporte pas autant de satisfaction qu'on l'aurait souhaité, sans qu'il y ait nécessairement de raison précise pour expliquer notre désillusion. Parfois, on n'a juste pas senti de connexion avec le lieu visité.

Malgré tout, quand nos proches nous demandent comment a été notre voyage, on peut éprouver une certaine gêne à admettre notre déception. Surtout si on les a taquinés avant notre départ (du genre, « Ha ha, je serai à Cuba pendant que vous vous les gèlerez ici. »). C'est comme si l'on se sentait coupable, lorsqu'on n'apprécie pas un pays. Comme si l'on se devait de tout aimer, sous prétexte qu'on a choisi de plonger dans cette aventure, que l'ouverture d'esprit nous force à taire nos réactions et réflexions au profit d'une évaluation « objective » de notre périple. On peut alors se trouver des excuses pour atténuer la portée de nos propos peu flatteurs sur l'endroit dont on est revenu déçu. Comme si l'on craignait que notre entourage nous juge sur notre opinion défavorable. Comme s'il fallait absolument se soumettre à quelques critères arbitraires, apparemment adoptés par une majorité de gens, sur ce qui est considéré comme branché et intéressant. Par exemple, avouer notre désenchantement après une fin de semaine à New York peut nous placer dans un contexte où l'on aura à défendre notre perception auprès de ceux et celles qui voient la ville comme la quintessence de la « branchitude ».

Pourtant, rien ne nous y oblige. Pas plus qu'on doit aimer une telle musique, une telle émission de télévision, une telle nourriture, une telle personne. Deux de mes amis n'ont pas été séduits par l'Inde. Je n'ai pas adoré la Suisse. Et alors? Ne pas aimer un pays ne révèle pas tant de choses sur lui; en fait, ça en dit plutôt beaucoup sur nous, sur nos intérêts, sur nos goûts, sur nos valeurs. Certes, on peut vivre des expériences traumatisantes en voyage et en revenir marqué à vie, mais plus souvent qu'autrement, notre déconvenue ne constitue que le reflet d'une simple incompatibilité entre notre caractère et l'ambiance du pays. C'est tout. Pas besoin d'une théorie néo-post-psychanalytique pour expliquer le pourquoi du comment.

Bien sûr, de nombreuses personnes ne ressentent pas cette gêne et critiquent sans vergogne les lieux qu'elles ont explorés: soit elles démontrent alors leur nature franche, brutalement honnête, soit elles dévoilent ainsi leur personnalité négative. Les individus brutalement honnêtes peuvent nuancer leurs critiques. Et c'est très bien comme ça, car ils deviennent par le fait même des sources fiables pour les curieuses et curieux qui cherchent de l'information sur une région donnée. Par contre, les esprits négatifs estiment que rien n'est assez bon pour eux. Ils remarquent des défauts partout et ils ne se concentrent que sur ces seuls aspects. Je préfère donc me renseigner auprès des premiers, car les deuxièmes, en plus de n'avoir à offrir que des jugements incomplets, sapent mon énergie.

jeudi 20 janvier 2011

Voyager en fauteuil roulant

Les personnes en fauteuil roulant doivent faire face à leur part de défis quotidiens. Toutefois, leur situation ne les empêche pas de mener une vie active, si elles le désirent. Par exemple, certaines deviennent des athlètes paralympiques. D'autres deviennent... des globe-trotters. Oui, il est possible de voyager autour du monde en fauteuil roulant, malgré les difficultés qu'un tel projet peut comporter.

Je vous propose donc trois sites créés par trois personnes en fauteuil roulant qui ont parcouru le monde ou qui le parcourent encore. Elles y racontent leurs voyages, les obstacles qu'elles ont rencontrés en chemin, les solutions qu'elles ont trouvées pour pallier ces problèmes et bien d'autres choses tout aussi fascinantes. Vous verrez, elles ont quantités d'histoires extraordinaires à partager. De belles et inspirantes leçons de courage et de détermination.

Voyage en fauteuil roulant


José Fernandez, paraplégique partit seul sur les routes du monde

Ça marche comme sur des roulettes

dimanche 16 janvier 2011

Chris Guillebeau à Montréal: le compte rendu

L'influent blogueur, entrepreneur rebelle et globe-trotter accompli Chris Guillebeau était de passage à Montréal le 15 janvier, dans le cadre de la tournée promotionnelle pour son livre The Art of Non-Conformity: Set Your Own Rules, Live the Life You Want, and Change the World. En fait, il est arrivé dans la ville le 14. Je l'ai su, car ce jour-là, je sirotais un café dans un café du centre-ville, quand je l'ai aperçu par la fenêtre, alors qu'il marchait sur le trottoir. Je suis aussitôt sorti du café pour aller me présenter et jaser un peu avec lui. Ma première impression: Chris dégage une profonde authenticité. Ce qu'il écrit, c'est lui; sa philosophie, il la vit. J'avais eu la même impression quand j'avais rencontré Bruno Blanchet. La cohérence entre leur œuvre et ce qu'ils sont dans le quotidien explique pourquoi ils parviennent à toucher d'aussi vastes auditoires: les gens sentent l'authenticité chez les autres personnes et beaucoup l'apprécient, car pour eux, elle constitue un idéal à atteindre.

Donc... j'ai assisté à la séance de dédicace de Chris, en compagnie de 75 à 100 admirateurs, à la librairie Indigo de la place Montréal Trust. Il s'agissait d'une des foules les plus importantes de sa tournée jusqu'à présent, m'a-t-il avoué. Par ailleurs, il nous a raconté que seulement six personnes avaient participé à la séance de Fargo, au Dakota du Nord. Il leur a dit que c'était correct si la foule était petite. Commentaire de l'un des membres du public de Fargo: six personnes, c'est une grosse foule pour l'endroit.

Durant sa présentation, Chris a décrit la genèse de son livre, il a parlé de sa philosophie de vie, de l'importance de choisir notre vie, peu importe nos rêves, des résistances qui peuvent jalonner les étapes vers la concrétisation de nos buts, des peurs que l'on peut ressentir tout au long de notre cheminement, de la nécessité de surmonter ces peurs. Il a ensuite répondu aux questions de l'assistance, qui ont porté sur ses voyages, sur l'évolution de son entreprise, sur la création d'entreprise, sur ses projets.

Vint ensuite la séance de dédicaces. Pendant que j'attendais dans la file, livre en main, j'ai eu la chance de bavarder avec Sébastien, que je ne connaissais pas. Tout comme moi, il a découvert Chris grâce à un article paru sur Cyberpresse en janvier 2009. Sébastien a déjà été pilote de ligne et il a voyagé dans 24 pays, dont les Philippines. Je m'intéresse de plus en plus à ce pays, alors j'étais content d'en apprendre sur lui. Comme quoi patienter dans une file ne rime pas nécessairement avec ennui.

Puis, ce fut mon tour. Alors que je m'approchais de la table où Chris signait les exemplaires de son livre, il m'a reconnu et il s'est même rappelé de mon prénom. Comment a-t-il réussi? Il a pourtant dû rencontrer un nombre invraisemblable de gens depuis le début de sa tournée, en septembre. Quand je pense que j'ai toutes les misères du monde à me souvenir d'un prénom que je viens d'entendre, je ne peux qu'applaudir un tel exploit.

Après la photo « protocolaire », je me suis assis pendant quelques trop brefs instants pour discuter avec lui. Je lui ai notamment exposé quelques projets que je caressais (dont un en lien avec ce site. Je vous en reparlerai en temps et lieu). Je lui ai demandé, en prenant congé de lui, s'il lui arrivait d'être découragé par l'humanité, après avoir tant voyagé, après avoir vu tant de choses. Il m'a répondu que non, qu'au contraire, il redécouvrait chaque fois à quel point les être humains étaient merveilleux. Une excellente et ô combien inspirante conversation, qui terminait en beauté un fantastique après-midi. Je vous laisse sur ces mots plein de sagesse que Chris a griffonnés dans mon exemplaire: Grab the bananas!


(À gauche: Chris Guillebeau; à droite, votre humble serviteur)

Perdre des amis en voyage (2e partie)

Mon histoire en Colombie-Britannique m'a fait réaliser l'importance de choisir avec soin les gens avec qui l'on part en voyage. On ne doit pas choisir quelqu'un simplement parce qu'on s'entend bien avec elle ou lui: ça ne suffit pas. Il existe un univers de différence entre un ami (ou une amie, bien sûr) avec qui on ne fait que boire une bière en regardant le hockey le samedi soir et un ami avec qui on se sentirait confortable même si on se perdait en pleine nuit dans un quartier mal famé d'une grande ville. Un vrai ami peut cadrer dans ces deux contextes: un ami moins proche, non.

Il faut donc choisir un ami (ou plusieurs, si on le désire; les critères restent toutefois les mêmes pour chacun) avec qui on possède un lien fort, presque fraternel. On doit avoir la certitude de pouvoir partager sans heurt avec lui toutes les péripéties imaginables, les meilleures comme les pires. Ce processus de sélection s'avère essentiel, mais plus difficile qu'il ne paraît, car on ne peut pas toujours deviner comment l'autre réagira dans les moments plus déroutants.

Par exemple, on croit avoir bien saisi la personnalité de son ami, mais lorsque survient un évènement désagréable, il ne parvient pas à gérer cet afflux d'émotions brutales et puissantes. Il pique une colère inattendue. Il nous engueule. Il refuse de s'impliquer dans la recherche d'une solution. Il se met à bouder. Il se referme. Peu importe comment il exprime son désarroi, il démontre à ce moment-là une attitude qui peut envenimer davantage un incident déjà trop pénible. Il devient alors facile de développer une vive rancœur envers cet ami, ami que l'on aime et respecte pourtant, en d'autres circonstances. Le fait de voir un être familier sous un jour aussi défavorable peut détruire à jamais l'image qu'on avait de lui. Une fois le respect perdu, l'amitié ne survit habituellement pas très longtemps, car ses fondations ont été brisées.

À mon avis, le seul truc vraiment efficace pour identifier le meilleur choix possible en matière de compagnon de route consiste à effectuer un premier voyage court, près de chez soi, avec la personne avec qui l'on souhaite partir pour une plus longue période. Il faut cependant ne pas avoir d'attentes et garder l'œil ouvert pour détecter les signes qui nous permettront de jauger de la compatibilité entre nous et l'autre. Si tout se passe bien, on pourra raisonnablement extrapoler qu'un périple plus ambitieux se déroulera sans anicroche. Si l'expérience tourne mal, on aura au moins évité de découvrir cette incompatibilité à des milliers de kilomètres de la maison, quand les possibilités de retour d'urgence demandent une logistique plus complexe et des fonds plus importants.

Mais parfois, c'est nous qui réagissons d'une façon médiocre, quand on a l'impression de ne plus avoir d'emprise sur quoi que ce soit. C'est nous qui « pétons les plombs », c'est nous qui nous refermons, qui compliquons les choses, car on se sent dépassé par les évènements. On pose alors des gestes incongrus, on dit des mots regrettables, on rompt le lien de confiance nous unissant à l'autre. Pour prévenir ces écarts, on doit bien se connaître, car être capable de prévoir comment on pourrait répondre à différents contextes permet d'esquiver de fâcheuses surprises. On éprouve par conséquent plus de facilité à reprendre le contrôle de la situation, si nécessaire, on anticipe avec plus d'aisance la résolution heureuse de la crise, car on connait l'éventail de nos réactions possibles et l'ampleur de nos ressources. Cette assurance constitue un outil très précieux, tant pour soi que pour l'autre, qui pourra, au besoin, se fier à nous.

Voyager avec des amis peut s'avérer génial ou catastrophique, selon les cas. Pour avoir vécu ces deux extrêmes, je pense que les observations susmentionnées peuvent servir de critères quand vient le temps de choisir son équipier. La qualité du voyage dépend beaucoup de ce choix, alors il ne faut pas le négliger.

jeudi 13 janvier 2011

Perdre des amis en voyage (1ere partie)

Les gens voyagent pour goûter à des expériences enrichissantes. Je ne connais personne qui voyage pour délibérément vivre des moments atroces. Par contre, les aléas du quotidien peuvent gâcher le plan qui avait été préparé: la pluie qui vient ruiner un séjour à la plage; un vol d'appareil photo qui emporte les souvenirs précieux; un malencontreux épisode de gastroentérite qui empêche la participation à une randonnée en montagne. Certains de ces aléas ne sont que des évènements uniques, ponctuels. Il est alors plus facile de passer par-dessus. Toutefois, quand plusieurs imprévus consécutifs viennent bouleverser les projets, le voyageur peut éprouver une vive frustration qui altèrera le reste de son périple. Et quand le voyageur se promène avec d'autres individus, cette frustration peut avoir de sérieux impacts sur les relations entre eux.

En 1999, je suis parti en Colombie-Britannique avec trois amis pour travailler tout l'été dans les plantations d'arbres fruitiers de la vallée de l'Okanagan. Or il y eut un gel tardif, phénomène qui n'avait pas frappé la région depuis près de cinquante ans, selon les habitants du coin. Par conséquent, on a dû trouver un plan B, et vite, car on ne possédait que très peu d'argent. On a finalement décidé d'acheter une voiture et de se rendre à Whistler, où travaillait un de nos amis. On comptait sur son aide pour y dénicher un emploi. Après environ une journée de recherche dans les rues d'Oliver et grâce à l'aide d'un bon samaritain qui nous a accompagnés dans nos démarches, on a acheté une Ford Mustang 1978 pour 500 $. Elle avait de la gueule, cette bagnole. On a aussitôt été régler les questions d'assurances et on a ensuite foncé vers Whistler. On y est arrivés vers 5 h du matin, à cause notamment d'une crevaison en bordure de Vancouver. On a alors retrouvé notre ami, dormant dans sa voiture, dans le stationnement numéro 4 (une sorte de terrain de camping non officiel bien connu des routards). Il était étonné mais heureux de nous voir. Quelques heures plus tard, on a été rencontrer sa patronne et elle nous a embauchés sur-le-champ pour effectuer de l'entretien de chambres d'hôtel.

Le boulot n'était pas si mal et on faisait à ce moment-là du camping dans plusieurs lieux autour de la ville. Mais après la destruction d'une de nos tentes par un ourson, on a déterminé qu'on ne tenait vraiment pas à tomber sur sa mère. On a ainsi abouti à notre tour dans le fameux stationnement numéro 4.

Ces conditions de vie me convenaient malgré tout, car à mes yeux, un voyage doit comporter son lot de rebondissements. Apparemment, mes amis ne partageaient pas ma philosophie. Au fil des jours, l'atmosphère entre nous devenait invivable. Je sentais que je devais décamper. J'étais cependant déchiré entre la raison qui me commandait de rester avec eux et l'intuition qui me poussait à agir. Je me doutais que je les perdrais si je partais, mais j'avais l'impression que j'allais être plus heureux à la maison. Je les ai donc abandonnés après seulement un mois. Je suis revenu au Québec sans plan, sans travail et sans argent. Une semaine plus tard, j'ai trouvé un emploi dans une épicerie près de chez moi et j'y ai travaillé pendant un an et demi. J'ai effectivement perdu mes amis, mais en fin de compte, je savais que j'avais pris la bonne décision.

Quatre ans plus tard, j'ai rencontré l'un d'eux par hasard sur le site du festival Woodstock en Beauce. On a alors discuté de notre voyage. Il m'a avoué qu'il m'en avait voulu de les avoir quittés, mais qu'avec le recul, il avait compris pourquoi j'avais agi de la sorte. Il m'a expliqué que la situation à Whistler ne s'était pas améliorée au cours des semaines suivantes et qu'il avait passé un été plutôt lamentable, et ce, même s'ils avaient loué un chalet - avec neuf autres personnes - après mon départ. On a fait la paix cette nuit-là. Quant à mes deux autres amies, je n'ai revu que l'une d'elle, une fois. Elle était venue chez moi pour m'emprunter mes photos de voyage, car elle en voulait des copies. Naïf, je lui ai prêté photos et négatifs. Elle ne me les a jamais ramenés et elle a disparu de ma vie.

samedi 8 janvier 2011

Instinct voyageur

Toujours à l'affût de nouvelles sources d'information, j'ai découvert Instinct voyageur, un site francophone créé par Fabrice Dubesset, un historien et documentaliste français. Avec une indéniable ferveur, il y promeut le voyage indépendant, à petit budget, car il croit que cette façon de voyager est la plus enrichissante qui soit. Je suis bien d'accord avec lui là-dessus.

En plus de regrouper les récits de plusieurs périples que son auteur a effectués au fil des ans, Instinct voyageur se divise en plusieurs catégories, telles que « En plongée », « Sur la route », « Vie nomade » et « Voyage pratique ». Fabrice aborde des sujets tant personnels (« Pourquoi je voyage? ») que technologiques (« Le Lumix TZ8: le compact idéal pour le voyage ! ») que logistiques (« 7 moyens d’économiser de l’argent au quotidien pour voyager »). Cette variété rend le site plus pertinent pour un plus grand nombre de gens, car il peut intéresser des lecteurs aux passions multiples. Elle reflète aussi les divers intérêts de Fabrice, comme le voyage (évidemment), la plongée sous-marine, la moto, la photographie, la vidéo. Vous trouverez également de nombreuses photos et vidéos des lieux où il a séjournés, des entrevues avec d'autres voyageurs, des statistiques du site, de même qu'une boutique où vous pouvez vous procurer des livres sur le monde des voyages.

Instinct voyageur n'en est qu'à ses débuts et il deviendra plus étoffé avec le temps. Je vous le conseille tout de même dès maintenant. Après tout, il n'y a jamais trop de ressources francophones sur le sujet.

jeudi 6 janvier 2011

Chris Guillebeau à Montréal le 15 janvier

Sur ce blogue, j'essaie de ne pas trop commenter l'actualité, car je préfère un contenu dont la pertinence survit au temps. Mais je ne peux passer sous silence cette excellente nouvelle: Chris Guillebeau, le plus connu des « travel hackers » et technomades de ce monde, sera de passage à Montréal le 15 janvier prochain, dans le cadre de la tournée de promotion pour son livre The Art of Non-Conformity: Set Your Own Rules, Live the Life You Want, and Change the World. Il sera à la librairie Indigo de la place Montréal Trust, à 15 h. Ce sera donc une occasion en or pour quiconque souhaite rencontrer l'homme qui a visité près de 150 pays et inspiré toute une communauté à adopter un mode de vie non conventionnel et enrichissant. Inscrivez-vous ici.

dimanche 2 janvier 2011

Mes plans pour 2011

Depuis 2006, j'effectue au moins un voyage hors du Québec par année. Ainsi, en juin 2011, je prévois aller à Cuba. Je veux essayer l'expérience d'un centre de villégiature tout inclus, savourer le farniente sur une plage de sable chaud, replonger les pieds dans des eaux turquoise, explorer La Havane, goûter l'intensité d'une culture latino-américaine. Mes plans devraient se confirmer vers le mois de mars. Il se peut toutefois qu'ils changent d'ici-là, pour diverses raisons. Après tout, l'an dernier, j'avais d'abord envisagé la possibilité de me rendre en Équateur. Eh bien, j'ai finalement déposé mon sac à dos en Bulgarie, en Espagne et en Turquie. J'avais réalisé que j'éprouvais un intérêt plus vif pour Istanbul que pour Quito. Mais peu importe la destination que je choisirai, une chose est certaine: je relaterai mes péripéties sur ce blogue.