Les 2 et 3 janvier, on a fait une excursion dans les Andes. On effectuait la première partie du trajet en voiture, jusqu'au village de Los Nevados, à 2700 mètres d'altitude. Puis, le lendemain, on allait rejoindre, à dos de mules, la troisième station du téléphérique de Mérida, à 4250 mètres. Ce téléphérique est le plus long (près de 12,5 kilomètres de long!!) et le plus haut du monde: sa dernière station se trouve à plus de 4700 mètres.
Le trajet en voiture fut spectaculaire, la route était très sinueuse, très étroite, sans garde-fous (rassurant, tout ça...). Cette situation rendait complexe les rencontres avec les autres voitures. Mais notre chauffeur, fort de ses trente années d'expérience, a sillonné ces chemins avec brio. Et les paysages étaient formidables.
Los Nevados est un village minuscule, mais très joli. On était hébergés dans une superbe posada, qui offrait une vue imprenable sur les montagnes. On a profité des confortables hamacs de l'endroit pour passer quelques minutes de détente fort agréables. Par contre, le soir tombé, le froid recouvre les lieux. La nuit fut très fraîche.
Le lendemain, on est partis à travers les montagnes, sur nos mules. Ce fut génial! Les mules parviennent à marcher sans trop de problème sur des sols très instables, très rocailleux. J'étais impressionné. Par ailleurs, Annie a établi un contact particulièrement intime avec sa mule, Savache; elle lui a parlé presque sans arrêt pendant les cinq heures de la randonnée. Une belle amitié est née, et plusieurs photos sont là pour le prouver.
J'ai saisi le sens de l'expression "tête de mule": quand une mule veut passer, elle passe, indépendamment du fait que d'autres mules lui bloquent le chemin. Il y a ainsi eu quelques collisions "intermulaires". Ma mule était plutôt compétitive, elle semblait prendre plaisir à bloquer le passage à celles qui la suivaient. Ça m'amusait, à vrai dire. Là encore, les paysages étaient à couper le souffle.
Arrivés à destination, on a pris quelques photos du Pico Bolivar, le plus haut sommet du pays (5007 mètres). Puis, on a pris le fameux téléphérique. Vraiment, c'est une expérience fascinante. La cabine descend à grande vitesse, on se sent petits dans les airs. De plus, la vue sur Mérida est magnifique. Une fois sur le plancher des vaches, on est retournés à notre posada, pour prendre un repos bien mérité.
Le trajet en voiture fut spectaculaire, la route était très sinueuse, très étroite, sans garde-fous (rassurant, tout ça...). Cette situation rendait complexe les rencontres avec les autres voitures. Mais notre chauffeur, fort de ses trente années d'expérience, a sillonné ces chemins avec brio. Et les paysages étaient formidables.
Los Nevados est un village minuscule, mais très joli. On était hébergés dans une superbe posada, qui offrait une vue imprenable sur les montagnes. On a profité des confortables hamacs de l'endroit pour passer quelques minutes de détente fort agréables. Par contre, le soir tombé, le froid recouvre les lieux. La nuit fut très fraîche.
Le lendemain, on est partis à travers les montagnes, sur nos mules. Ce fut génial! Les mules parviennent à marcher sans trop de problème sur des sols très instables, très rocailleux. J'étais impressionné. Par ailleurs, Annie a établi un contact particulièrement intime avec sa mule, Savache; elle lui a parlé presque sans arrêt pendant les cinq heures de la randonnée. Une belle amitié est née, et plusieurs photos sont là pour le prouver.
J'ai saisi le sens de l'expression "tête de mule": quand une mule veut passer, elle passe, indépendamment du fait que d'autres mules lui bloquent le chemin. Il y a ainsi eu quelques collisions "intermulaires". Ma mule était plutôt compétitive, elle semblait prendre plaisir à bloquer le passage à celles qui la suivaient. Ça m'amusait, à vrai dire. Là encore, les paysages étaient à couper le souffle.
Arrivés à destination, on a pris quelques photos du Pico Bolivar, le plus haut sommet du pays (5007 mètres). Puis, on a pris le fameux téléphérique. Vraiment, c'est une expérience fascinante. La cabine descend à grande vitesse, on se sent petits dans les airs. De plus, la vue sur Mérida est magnifique. Une fois sur le plancher des vaches, on est retournés à notre posada, pour prendre un repos bien mérité.