Dans les prochains jours, j'écrirai quelques anecdotes sur Mérida. Il s'y est passé beaucoup de choses, alors j'ai pas mal de matière pour écrire. Je ne raconterai pas nécessairement les événements en ordre, j'irai plutôt selon l'inspiration du moment.
Aujourd'hui, je vais raconter notre dernière soirée à Mérida. Alexis, Annie, Marilou et moi avions prévu de manger chez Federico, le resto qu'on avait bien aimé. Alejandro, le guide pour nos deux excursions, devait nous y rejoindre. On est arrivés tous les quatre, vers 20 h. On a commandé de la bière, pendant que des tounes inattendues jouaient dans l'établissement (Roxette, Céline Dion et Chicago au Venezuela? Damn...). On a voulu commander, mais le serveur nous a mentionné qu'il n'y avait que de la pizza au menu. Quoi???? Avec une carte aussi variée??? On a trouvé ça plutôt étrange. On a donc bu nos bières, en attendant Alejandro.
Il est arrivé peu après, avec sa soeur et son chum, un Français de Toulouse. Elle aussi parlait français. Tout de suite, on s'est bien entendus avec eux. Ils ont à leur tour voulu commander, mais encore une fois, le serveur a dit qu'il n'y avait que de la pizza au menu. Le hic, c'est que les clients de la table d'à-côté mangeaient des pâtes...
On a donc confronté le serveur à ce sujet. Il nous a alors répété qu'il n'y avait que de la crisse de pizza au menu, niant ainsi la preuve accablante de son mensonge. On s'est donc tous levés et on est partis sans payer nos bières. D'autres clients sont partis en même temps que nous. En tout, près de quinze personnes ont quitté, à cause de ce connard de serveur. Bien fait pour lui...
Alejandro nous a alors amenés à La Viña, un resto plutôt haut-de-gamme. Et quel resto, les ami-es!! Pour les amateurs de viande, c'est un paradis; pour les végétariens, ce lieu est un vrai cauchemar. De la viande, de la viande et que de la viande. Bon, rien d'incroyable, jusque-là. Mais, ce qui est particulier, c'est que le serveur a apporté un BBQ alimenté par des briquettes de charbon juste à côté de notre table!! Et là, ce fut le BBQ privé pour les convives. Boeuf, porc, poulet, saucisses.... tout ce qu'un vrai carnivore peut désirer, et ce, en quantités industrielles. On a mangé comme des ogres.
Toutes les tables avaient leur BBQ privé, ce qui créait un épais nuage de fumée, parfumé aux effluves de viandes grillées. Ce concept de resto connaîtrait certainement un succès boeuf dans plusieurs régions du Canada et des États-Unis. Bon, les services d'incendies locaux auraient sans doute ces établissements dans le colimateur, mais les amateurs de viande seraient comblés.
Ce fut un repas inoubliable. Pleins comme des outres, on a roulé jusqu'à notre posada où on a passé la nuit à digérer les montagnes de chair ingurgitées. Personnellement, je n'ai très bien dormi...
Aujourd'hui, je vais raconter notre dernière soirée à Mérida. Alexis, Annie, Marilou et moi avions prévu de manger chez Federico, le resto qu'on avait bien aimé. Alejandro, le guide pour nos deux excursions, devait nous y rejoindre. On est arrivés tous les quatre, vers 20 h. On a commandé de la bière, pendant que des tounes inattendues jouaient dans l'établissement (Roxette, Céline Dion et Chicago au Venezuela? Damn...). On a voulu commander, mais le serveur nous a mentionné qu'il n'y avait que de la pizza au menu. Quoi???? Avec une carte aussi variée??? On a trouvé ça plutôt étrange. On a donc bu nos bières, en attendant Alejandro.
Il est arrivé peu après, avec sa soeur et son chum, un Français de Toulouse. Elle aussi parlait français. Tout de suite, on s'est bien entendus avec eux. Ils ont à leur tour voulu commander, mais encore une fois, le serveur a dit qu'il n'y avait que de la pizza au menu. Le hic, c'est que les clients de la table d'à-côté mangeaient des pâtes...
On a donc confronté le serveur à ce sujet. Il nous a alors répété qu'il n'y avait que de la crisse de pizza au menu, niant ainsi la preuve accablante de son mensonge. On s'est donc tous levés et on est partis sans payer nos bières. D'autres clients sont partis en même temps que nous. En tout, près de quinze personnes ont quitté, à cause de ce connard de serveur. Bien fait pour lui...
Alejandro nous a alors amenés à La Viña, un resto plutôt haut-de-gamme. Et quel resto, les ami-es!! Pour les amateurs de viande, c'est un paradis; pour les végétariens, ce lieu est un vrai cauchemar. De la viande, de la viande et que de la viande. Bon, rien d'incroyable, jusque-là. Mais, ce qui est particulier, c'est que le serveur a apporté un BBQ alimenté par des briquettes de charbon juste à côté de notre table!! Et là, ce fut le BBQ privé pour les convives. Boeuf, porc, poulet, saucisses.... tout ce qu'un vrai carnivore peut désirer, et ce, en quantités industrielles. On a mangé comme des ogres.
Toutes les tables avaient leur BBQ privé, ce qui créait un épais nuage de fumée, parfumé aux effluves de viandes grillées. Ce concept de resto connaîtrait certainement un succès boeuf dans plusieurs régions du Canada et des États-Unis. Bon, les services d'incendies locaux auraient sans doute ces établissements dans le colimateur, mais les amateurs de viande seraient comblés.
Ce fut un repas inoubliable. Pleins comme des outres, on a roulé jusqu'à notre posada où on a passé la nuit à digérer les montagnes de chair ingurgitées. Personnellement, je n'ai très bien dormi...