Je suis de retour à Caracas pour quelques jours. Dans mes messages précédents, je mentionnais qu'il y avait certains aspects de la ville qui me déplaisaient. Ils m'agacent encore, mais je dois avouer que quand je suis entré dans la ville, accompagné par le soleil et la toune "Don't take me for granted" de Social Distortion (non mais, quel groupe!), j'étais heureux. Après un mois d'un rythme de vie léthargique à Sanare, j'avais faim pour de l'action. Et de l'action, il y en a, à Caracas.
Je suis retourné à la posada où habite Marilou. Le quartier Antímano commence à m'être familier, je reconnais les commerces, les rues et même certains chiens errants. J'ai toutefois remarqué l'apparition d'un local des Témoins de Jéhovah près de la posada. Ils sont vraiment partout...
J'ai donc revu Marilou, pour la première fois depuis un mois. C'était super de la revoir! Autant j'aime voyager et découvrir le monde, autant il est important pour moi de garder contact avec mon univers. Ce fut donc une belle soirée de retrouvailles. On s'est racontés ce qu'on a vécu depuis un mois. On est d'accord sur un point: novembre est un mois long, plate et pénible, peu importe le pays où l'on se trouve. C'est vrai, quand on y pense: il fait de plus en plus froid, les jours sont de plus en plus courts, l'hiver s'en vient. Beuh. Mais décembre s'en vient, je passe quelques jours à Caracas, alors tout ira bien.
Je suis retourné à la posada où habite Marilou. Le quartier Antímano commence à m'être familier, je reconnais les commerces, les rues et même certains chiens errants. J'ai toutefois remarqué l'apparition d'un local des Témoins de Jéhovah près de la posada. Ils sont vraiment partout...
J'ai donc revu Marilou, pour la première fois depuis un mois. C'était super de la revoir! Autant j'aime voyager et découvrir le monde, autant il est important pour moi de garder contact avec mon univers. Ce fut donc une belle soirée de retrouvailles. On s'est racontés ce qu'on a vécu depuis un mois. On est d'accord sur un point: novembre est un mois long, plate et pénible, peu importe le pays où l'on se trouve. C'est vrai, quand on y pense: il fait de plus en plus froid, les jours sont de plus en plus courts, l'hiver s'en vient. Beuh. Mais décembre s'en vient, je passe quelques jours à Caracas, alors tout ira bien.