La route pour Choroní fut tout simplement infernale, pour les raisons suivantes:
- Un bus vraiment bondé (j'ai passé plus d'une heure debout, pogné dans l'allée);
- Du reggaeton tonitruant (un mélange de hip-hop et de reggae, le volume dans le fond... ouf. On se serait cru dans une discothèque);
- Un barrage de klaxons (le chauffeur devait avertir les autres automobilistes qu'il négociait les virages);
- Une route ultrasinueuse, fichtrement dangereuse qui serpentait à travers les montagnes (man, ce doit être freakant de conduire là-dedans!);
- Une puissante odeur d'essence (beurk);
- Un bus aux amortisseurs déficients (un tape-cul, en bon québécois);
- Mon ventre vide qui criait famine (le déjeuner était loin).
Mais ça en a valu la peine.
- Un bus vraiment bondé (j'ai passé plus d'une heure debout, pogné dans l'allée);
- Du reggaeton tonitruant (un mélange de hip-hop et de reggae, le volume dans le fond... ouf. On se serait cru dans une discothèque);
- Un barrage de klaxons (le chauffeur devait avertir les autres automobilistes qu'il négociait les virages);
- Une route ultrasinueuse, fichtrement dangereuse qui serpentait à travers les montagnes (man, ce doit être freakant de conduire là-dedans!);
- Une puissante odeur d'essence (beurk);
- Un bus aux amortisseurs déficients (un tape-cul, en bon québécois);
- Mon ventre vide qui criait famine (le déjeuner était loin).
Mais ça en a valu la peine.