Ce fut ma meilleure journée depuis que je suis à Sanare. Pour plusieurs raisons. D'abord, j'ai enfin réussi à obtenir des informations que je demandais depuis le début de la semaine. Tous les jours, j'allais au bureau du tourisme ou à l'hôtel-de-ville, dans l'espoir que la responsable des communications me remette enfin les documents dont j'avais besoin. Eh bien, ce matin, je les ai eus. J'ai insisté plus que d'habitude, aussi. C'est comme ça que ça marche au Venezuela: il faut vraiment pousser les gens dans le derrière pour obtenir ce que l'on veut. Et non, je ne pourrais confirmer que cette affirmation est vraie dans toutes les situations.
À part ça, j'ai réglé quelques détails logistiques chiants par rapport au renouvellement de mon visa (c'est une longue histoire, et je n'ai pas vraiment envie de m'étendre sur le sujet). Mais ce que je peux dire, c'est que ça fait du bien.
J'ai aussi acheté un excellent pain frais. Miam.
Il fait super beau et on est très bien dehors. Et il neige au Québec, paraît-il.
C'est vendredi.
Et j'ai vécu un moment très cool. À lire dans le prochain message.
À part ça, j'ai réglé quelques détails logistiques chiants par rapport au renouvellement de mon visa (c'est une longue histoire, et je n'ai pas vraiment envie de m'étendre sur le sujet). Mais ce que je peux dire, c'est que ça fait du bien.
J'ai aussi acheté un excellent pain frais. Miam.
Il fait super beau et on est très bien dehors. Et il neige au Québec, paraît-il.
C'est vendredi.
Et j'ai vécu un moment très cool. À lire dans le prochain message.