Toute bonne chose a une fin. Surtout les vacances. Lundi matin, on devait hélas rentrer. Debouts à 6 h, on s'est préparés et on a été déjeuner à notre petit resto d'à-côté. Je vous le dis, la dame fait d'excellents empanadas.
Pas de problème pour trouver un bateau jusqu'à Choroní. Splendides paysages teintés du soleil levant.
Arrivée à Choroní. Entente avec un chauffeur de taxi pour lift jusqu'à Maracay. Attente. Photos dans village. Départ dans les montagnes. Soit dit en passant, le trajet se fait infiniment mieux en taxi qu'en bus. On a pu mieux apprécier les incroyables paysages du Parc national Henri-Pittier...
Arrivée à Maracay. Ce fut le moment des "au-revoir". Je déteste ces moments. Marilou est alors repartie pour Caracas; je suis parti pour Barquisimeto. Trajet plate. À Barqui, j'ai flâné un peu, je me suis promené dans la ville. Sorti de l'argent. Je suis ensuite rentré à Sanare, seul, heureux de ma fin de semaine, mais triste que ce soit déjà terminé.
Et en plus, la putain de porte de ma posada était barrée.
Arrivée à Maracay. Ce fut le moment des "au-revoir". Je déteste ces moments. Marilou est alors repartie pour Caracas; je suis parti pour Barquisimeto. Trajet plate. À Barqui, j'ai flâné un peu, je me suis promené dans la ville. Sorti de l'argent. Je suis ensuite rentré à Sanare, seul, heureux de ma fin de semaine, mais triste que ce soit déjà terminé.
Et en plus, la putain de porte de ma posada était barrée.