Après la traversée épique de la montagne, je commençais à relaxer. La route s'aplanissait peu à peu. On a croisé quelques villages isolés, des restos en bordure du chemin et des gens qui étaient descendus de leur voiture pour admirer le paysage et boire un coup (et offrir un shooter à notre chauffeur... qui l'a accepté. Heille, toé, fais pas le cave...).
Puis, Choroní. Enfin. Quelle ne fut pas notre soulagement, à Marilou et moi, de poser le pied hors de ce tacot bruyant et puant! Aussitôt, on s'est dirigés vers la plage, afin de trouver un lift vers Chuao. Cinq minutes plus tard, on était assis dans un long bateau à moteur, en compagnie de plusieurs autres personnes. On est alors partis, à vive allure, sur les flots majestueux de la mer des Caraïbes. Le vent dans les cheveux, le vent salé dans les narines, on retrouvait notre entrain. Enfin, on touchait au but de notre voyage!!
Près de dix minutes plus tard, on débarquait à Chuao. Tout de suite, on a été conquis par la beauté des lieux. Cette vision a justifié toutes les péripéties difficiles qu'on a vécues ce jour-là. On était arrivés au paradis.
Puis, Choroní. Enfin. Quelle ne fut pas notre soulagement, à Marilou et moi, de poser le pied hors de ce tacot bruyant et puant! Aussitôt, on s'est dirigés vers la plage, afin de trouver un lift vers Chuao. Cinq minutes plus tard, on était assis dans un long bateau à moteur, en compagnie de plusieurs autres personnes. On est alors partis, à vive allure, sur les flots majestueux de la mer des Caraïbes. Le vent dans les cheveux, le vent salé dans les narines, on retrouvait notre entrain. Enfin, on touchait au but de notre voyage!!
Près de dix minutes plus tard, on débarquait à Chuao. Tout de suite, on a été conquis par la beauté des lieux. Cette vision a justifié toutes les péripéties difficiles qu'on a vécues ce jour-là. On était arrivés au paradis.